Ce que je dis souvent, c’est qu’il faut écouter son cœur.
Bonjour à tous, je suis Jonathan Anguelov.
Je suis le fondateur d’une société qui s’appelle Aircall, qui a été valorisée plus d’un milliard de dollars en 2021.
J’en ai quitté l’opérationnel récemment, en 2024, pour me consacrer à ma foncière, Aguesseau Capital, qui détient plusieurs hôtels, plusieurs immeubles de bureaux, plusieurs immeubles d’habitation..
Au sein d’Aguesseau Capital j’ai créé un club d’investissement qui permet aux personnes qui souhaitent investir dans l’immobilier de s’associer à moi directement et d’investir à mes côtés. On offre des rendements de 10% à 15%.
J’ai 37 ans aujourd’hui et je ne compte pas m’arrêter là.
Il ne faut pas vouloir aller trop vite, il faut avant tout avoir une vision claire
C’était vraiment une expérience très enrichissante et surtout assez intense.
J’étais surpris de voir la qualité des entrepreneurs, des personnes assez avancées qui font déjà du chiffre d’affaires, certains plusieurs millions d’euros, donc c’était une agréable surprise et surtout j’étais impressionné par la qualité des questions qu’on pouvait me poser, c’était des questions vraiment pratiques.
On sent que c’est des personnes qui sont dans des phases de leur entreprise assez prenantes et assez clés et donc qui veulent savoir les erreurs à éviter.
Dieu sait qu’un entrepreneur va faire des erreurs et moi le premier j’en ai fait des dizaines voire des centaines fois et les questions qu’on me posait ça me rappelait un peu le début de mon parcours. Ça me permettait aussi moi de leur transmettre finalement ce que j’ai toujours voulu faire dans ma vie qui est de dire éviter de faire des erreurs autant que possible et faites-en des leçons.
Aujourd’hui j’essaye de leur donner mes erreurs pour qu’eux ne les fassent pas et ne perdent pas de temps comme j’ai pu en perdre comme tout entrepreneur qui se doit, et de leur permettre d’avancer un petit peu plus vite et de se concentrer sur leurs objectifs, la réussite de leur société et moins de tâtonner à gauche à droite.
Quelles sont les plus grosses erreurs qu’on a faites ? Qu’est-ce que j’ai appris sur ces dix dernières années en tant qu’entrepreneur en passant de zéros employés à plus de 800 employés ? Comment finalement, eux, leur permettre d’aller plus vite dans ce qu’ils vont créer ? C’est vraiment quelque chose d’intéressant de voir que les gens Aujourd’hui, ils veulent aller vite et ils ne veulent pas faire d’erreur. Pendant des années, les entrepreneurs étaient un peu vus comme des ermites qui travaillaient dans leurs coins.
Et aujourd’hui, on sent que la nouvelle génération d’entrepreneurs sont des personnes qui veulent justement apprendre, se nourrir des vieux singes comme moi et justement d’aller super vite. Maintenant, la chose que j’essaie de transmettre souvent, c’est qu’il ne faut pas non plus vouloir aller trop vite, il faut avant tout avoir une vision claire de ce qu’on veut faire et c’est en allant trop vite qu’on se brûle les ailes. Donc attention à bien trouver le bon équilibre entre je vais vite, je fonce sur mon produit, j’évite toutes les erreurs parce que j’ai regardé toutes les masterclass de tous les entrepreneurs que j’admire et je construis un produit qui fonctionne, qui plaît et qui va durer dans le temps.
Quelles sont les plus grosses erreurs qu’on a faites ?
Qu’est-ce que j’ai appris sur ces dix dernières années en tant qu’entrepreneur en passant de zéros employés à plus de 800 employés ?
Comment finalement, eux, leur permettre d’aller plus vite dans ce qu’ils vont créer ?
C’est vraiment quelque chose d’intéressant de voir que les gens aujourd’hui, ils veulent aller vite et ils ne veulent pas faire d’erreur. Pendant des années, les entrepreneurs étaient un peu vus comme des ermites qui travaillaient dans leurs coins.
Aujourd’hui, on sent que la nouvelle génération d’entrepreneurs sont des personnes qui veulent justement apprendre, se nourrir des vieux singes comme moi et justement aller super vite.
La chose que j’essaie de transmettre souvent, c’est qu’il ne faut pas non plus vouloir aller trop vite, il faut avant tout avoir une vision claire de ce qu’on veut faire et c’est en allant trop vite qu’on se brûle les ailes. Attention à bien trouver le bon équilibre entre je vais vite, je fonce sur mon produit, j’évite toutes les erreurs parce que j’ai regardé toutes les masterclass de tous les entrepreneurs que j’admire et je construis un produit qui fonctionne, qui plaît et qui va durer dans le temps.
Ce que je dis souvent, c’est qu’il faut écouter son cœur. Si on a l’impression qu’une formation peut nous apporter de la valeur, et bien formons-nous.
Dans la vie, il faut se former.
Moi, malheureusement, toute ma vie, je n’ai pas eu l’occasion de me former et puis Dieu sait que je regrette. Maintenant, on peut y arriver également ensemble et dans la vie, il ne faut pas hésiter à s’écouter. Si on estime qu’on a des choses à apprendre, apprenons-les. Ça nous évitera plus tard de le regretter et dans la vie je dis toujours il faut surtout pas vivre avec des regrets. Il faut toujours regarder devant soi, regarder le futur et si le futur vous dit qu’il faut faire telle ou telle formation, faites-la, faites-vous plaisir, avancez et allez de l’avant.
Je vous souhaite que du bonheur parce que l’entreprenariat c’est que du bonheur !